Série LAdultère « Stéphanie » : (Partie 25). Plaisirs De Vacances.
Je mappelle Stéphanie, jai 44 ans, je vais vous raconter mon adultère avec un jeune voisin pendant les vacances dété. Je suis mariée depuis 18 ans à Johan et après deux ans de notre mariage, jai pu connaître la joie de la maternité avec la naissance de Camille qui aujourdhui est une jolie jeune fille de 16 ans. Je ne suis pas un top model mais mon mari me trouve ravissante et certaines de mes collègues au travail me prenne souvent en exemple pour mon corps encore mince pour mon âge, malgré ma forte poitrine.
Depuis plusieurs années, nous louions une maison avec la petite famille de mon frère ainé mais ma belle-sur ne pouvant pas prendre ses congés en août, mon mari sétait rabattu sur la location dun bungalow dans un camping à Argelès sur mer où nous sommes arrivés le deuxième samedi du mois daoût. Si mon mari très ouvert envers les autres, participa aussitôt à la vie du camping et si ma fille était enchantée davoir rapidement sympathisé avec des jeunes de son âge, moi étant beaucoup plus réservée, javais des difficultés dadaptation.
Pendant les premiers jours, Camille samusait à la piscine avec ses copains et copines, Johan faisait du volley, badminton ou de la pétanque et toutes de sortes dactivités, pour moi, bronzage sur le transat et lecture était mon quotidien en les attendant, avant que lon se dirige à la plage vers 17 heures et balade en soirée après le diner. Depuis le dimanche, mon mari avait sympathisé avec Sylvain un des deux trentenaires célibataires, louant le bungalow face au nôtre. Il faisait les mêmes activités que Johan, tandis que Julien restait à lécart comme je le faisais moi-même.
Le mardi après-midi, je lisais tranquillement à lombre sur notre terrasse et je remarquai que mon voisin, un magazine dans les mains, narrêtais pas de mobserver du coin de lil. Je fus surprise et fière à la fois de plaire à ce jeune homme sportif avec une tête dange et dont le corps musclé à souhait était recouvert dun léger duvet noir.
Mon mari mavait dit la veille au soir, quil pensait que ces deux célibataires devaient probablement vivre en couple mais javais appris ce jour-là quils étaient frères. Sylvain était célibataire et Julien vivait mal sa dernière séparation. Cétait la raison pour laquelle il lavait accompagné en vacances afin de lui changer ses idées. Cette petite heure passée en sa compagnie mavait fait du bien, je me sentais très à laise même si je mapercevais que je lui plaisais et faisait quelques allusions dont je mefforçais à ne pas faire attention. Je ne pouvais concevoir une liaison adultère avec notre voisin de camping.
Pour ne rien vous cacher, si jétais célibataire, je naurais pas hésité un instant, ce garçon me plaisait beaucoup. Le lendemain matin, Sylvain et Johan étaient partis de bon matin faire une course dorientation, il en avait pour toute la matinée pendant que Camille avait déjà rejoint ses amis à la piscine du camping. Il était 10 heures du matin, je venais de finir de faire le ménage, de préparer le déjeuner et je mapprêtais à minstaller avec mon bouquin sur la terrasse. Me sachant seul, Julien vint me proposer daller à la plage avec lui. Ni voyant là aucun mal, javais accepté de le suivre.
Pendant la petite demi-heure de marche, nous avions commencé à partager notre vie professionnelle. À aucun moment, il navait essayé de me séduire, jen étais presque à le regretter. Lorsque nous nous sommes installés sur la plage, je métais levée et métais approchée de lui avec ma crème solaire dans la main :
Ce nest pas très prudent de vous exposer sans vous protéger.
Jai complètement oublier de prendre ma crème.
Attends, laisse-moi faire, jai la mienne. Lui dis-je en le tutoyant sans aucune mauvaise attention.
Merci ! Cest gentil
Jétais déjà à genoux et en avait versé sur mes mains que je passais sur son dos. Puis je fis comme avec mon mari, jen étalais derrière ses jambes, ses cuisses en montant jusquà la lisière de son slip de bain :
Tourne toi Julien et mets-toi en devant.
Tout de suite, mes yeux se portèrent sur la bosse que formait son sexe dans son maillot. Il sétala de la crème sur son torse et ses abdominaux puis sapercevant que mon regard ne quittait pas son bas ventre :
Excuse-moi Stéphanie mais tes mains sont si douces.
Je fus très gênée, je baissai la tête, ne sachant que faire ni quoi répondre, je mallongeai sur ma serviette. Il vint sasseoir à mes côtés et me dit :
À mon tour de te mettre de la crème, ce nest pas facile dans le dos.
Il retira la lanière arrière de mon haut push up de mon bikini et commença à menduire. Ses mains se promenèrent de longues minutes sur mes épaules, mon dos, mes flancs à la limite de mes seins et sur mes reins. Je me sentais bien, je fermais les yeux, il massait tendrement ma peau nue, cétaient réellement des caresses érotiques. Je me laissais faire tellement cétait bon et excitant à la fois. Je mefforçais à ne pas gémir mais ma respiration saccélérait et mon souffle sintensifiait. Lorsquil passa ses mains à lintérieur de mes cuisses, ses doigts frôlèrent le tissu de mon maillot, mon corps fut parcouru de frissons, jen avais la chair de poule. Je maperçus que je lavais laissé aller trop loin :
Arrête Julien, sil te plait.
Ça ne ta pas plus ? Sétonna-t-il.
Oh si ! Mais je préfère que nous en restions là.
Jen profitais pour me faire bronzer en lisant mon bouquin, jessayais de lui tourner le dos. Un peu plus tard, en me plaçant à plat ventre afin de brunir le dos, je vis Julien qui me dévorait des yeux. À partir de là, javais beaucoup plus de difficultés à me concentrer sur mon roman.
Je men voulais dêtre à ce point excitée comme à lâge de mes quinze ans. Je me disais : « Reprends-toi Stéphanie ! Ne tombe pas dans ce piège ». Je métais levée pour aller baigner, il fallait que je le quitte un moment avant que je ne fasse une erreur. Pendant les quinze mètres me séparant de la mer, je métais retournée deux fois vers lui, il ne me quittait toujours pas des yeux. Je passai les groupes ds et me retrouvais avec de leau jusquaux épaules, lorsque que vis Julien derrière moi. Il passa ses bras autour de moi, une main sur mon ventre, lautre sur mon sein, il baissa sa tête et membrassa dans le cou en me disant à loreille :
Que tu es belle, Jai envie de toi Stéphanie.
Mon esprit me disait de le repousser, mais mon corps disait linverse, jétais impuissante et quand sa main était descendue sous mon bikini et que ses doigts caressaient délicatement ma fine toison de mon pubis, je passai les miennes en arrière sur ses hanches et plaquai mes fesses sur son bas ventre. Javais inconsciemment écarté mes jambes afin quil puisse accéder plus facilement à mon intimité, je ressentais son sexe durci entre mes fesses que je remuais de gauche à droite. Ma petite chatte nétait pas trempée à lintérieure par de leau de mer mais bien par la cyprine qui suintait de mon vagin.
Il mattrapa et me retourna, je mis mes bras autour de son cou, ses mains sur mes fesses nous étions collés lun à lautre dans un baiser tendre et passionné à la fois. Nous étions seuls, loin au milieu de leau, Julien me porta légèrement afin que mes jambes enserrent sa taille et lorsquil écarta mon slip de bain, jeus un moment de lucidité, je compris quil allait me pénétrer :
Non Julien je ne peux pas faire ça.
Tu as raison, je nai pas de préservatif.
Cette excuse mallait très bien, je ne voulais surtout pas le brusquer ni de tromper mon mari, je men voulais beaucoup de ce moment dégarement. Je me suis décollée de lui et javais nagé pendant plus de vingt minutes en pensant à ce que je venais de vivre, jen étais à regretter de ne pas être allée jusquau bout car mon excitation était à son comble et cela faisait très longtemps que nous ne vivions plus ces moments intenses avec Johan.
Lorsque jétais retourné à ma place, Julien était parti, jétais assez triste de ne plus le voir, je savais que jétais allée beaucoup trop loin et en même temps, jétais heureuse de ne pas mêtre offerte à lui. Il allait être lheure, je devais rentrer. Pendant le repas, Johan mavait senti un peu distraite et mal dans ma peau. Il me proposa daller lencourager à son concours de pétanque laprès-midi, il culpabilisait de me laisser seule. Je métais assise sur un banc à lombre des arbres afin de poursuivre mon roman au milieu des nombreux joueurs.
Julien me voyant ainsi, me proposa de faire une petite partie avec lui et mapprendre à jouer. Nous nous étions donc un peu éloignés des autres et tout en lançant les boules, il me parla de sa séparation douloureuse. Je compissais, il semblait très atteint moralement. À un certain moment, je devais aller aux WC, gentiment il my accompagna. Dès que javais pénétré dans les toilettes communes, cétait trop tard, il poussa la porte dune cabine, il mattrapa gentiment par le bras et me tira à lintérieur. Il ferma la porte derrière lui, nous étions très proches lun de lautre dans cet espace réduit, je navais pu mempêcher de me jeter dans ses bras. Javais le souffle court, haletant et jentendais les battements de son cur qui tambourinaient dans sa poitrine.
Je posai mes lèvres contre les siennes. Je mis mes bras autour de son cou pendant quil me prenait par les fesses, jétais toute excitée, dans les bras de mon voisin. À aucun moment, je ne métais dit que je faisais une bêtise, mon mariage, ma fille, je les avais complètement oubliés. Puis, en me redressant sur la pointe des pieds, je glissai mes deux mains dans ses cheveux pour lembrasser dans un baiser sensuel et langoureux. Très vite, il me retourna, il appuyait contre mes fesses, son sexe que je ressentais très bien. Il mavait pris les seins de ses deux mains et me les caressait, il était tendre et doux, il osa me prendre les tétons qui devenaient sensibles prisonniers de son index et de son pouce.
Je métais mise sur la pointe des pieds, je remuais mon bassin, je frottais la raie de mes fesses contre sa verge tendue et gonflée. Au bout de quelques minutes, il me libérait de son étreinte, je fis demi-tour et entreprit de lui enlever son short, son phallus était bandé devant moi. Je maccroupis et pris cette belle queue dans ma bouche. Il mit ses mains derrière ma tête mais nosait pas me faire mal. Je mactivais davant en arrière tout en léchant de ma langue son gland qui semblait énorme dans ma petite bouche. Mes mains posées sur ses fesses, je lattirais un peu plus en moi, je gardais quelques secondes son pénis le plus loin possible sans que cela me gêne, puis je le ressortais.
Je repris ma fellation, avec de la douceur, je léchais sa hampe et son gland, je remettais lensemble entre mes lèvres et ressortais son engin pour le lécher de nouveau. Ma main lui emprisonnait ses bourses pleines, tandis que lautre se trouvait entre ses fesses, mon doigt lui caressait lanus. Il me prit sous les aisselles et me redressa et embrassa mes seins, il devait les aimer. Il suçait mes mamelons, les aspirait pendant que mes mains lui prodiguaient quelques caresses le long de sa verge. Je nen pouvais plus, il ne mavait pas encore touché mon intimité, mais la cyprine que je secrétais, suintait et coulait le long de lintérieur de mes cuisses.
Ses mains empoignaient mes seins, les soupesèrent, et les malaxaient avec délicatesse. Je frissonnais de plaisir, sa bouche repris possession de la mienne. Je me tordais dans tous les sens, ne pouvant échapper aux vagues de plaisir qui inondaient ma chatte trempée. Enfin sa main glissa le long de mon ventre jusquà mon vagin. Il introduit directement son index et son majeur à lintérieur.
Jétais trempée, ses deux doigts puis un troisième caressait lentrée de ma vulve puis remontait titiller mon clitoris, gonflé de sang et durci par mon excitation. La tension et la situation me faisait gémir, en quelques secondes, jétais prête à exploser, jessayais de résister mais je cédai finalement à lorgasme, mon corps traversé par des vagues de plaisir. Je métais retournée, je cambrai le dos et lui dis :
Viens, prends-moi, maintenant.
À cet instant, une bonne dizaine de joueurs entrèrent bruyamment dans les toilettes et je venais de reconnaître la voix de Johan qui commentait sa partie à Sylvain. Je ne savais plus où me mettre, jétais tétanisée et mon désir était retombé ainsi que la verge de Julien qui elle aussi était en berne. Encore une fois, nous avions bien failli faire lamour mais décidément, il était écrit que nous ne pourrions pas nous donner lun à lautre.
Je compris que javais fait une grave erreur et que je ne devais pas poursuivre cette relation sexuelle, jétais mariée et je devais rester fidèle. Lorsquenfin nous nétions retrouvés seuls, Julien voulut membrasser, je lui avais refusé et je métais éclipser. Mon amant mavait rejoint et nous avions repris comme si de rien nétait, notre partie avant que je me replonge dans mon roman tout en bavardant.
Ce mercredi-soir, il y avait soirée disco au camping, jadore ce genre de soirée où je peux me défouler sur la piste de danse. Jétais impatiente de la vivre mais lorsque Julien mavait dit laprès-midi que nous pourrions renouveler lexpérience dans lobscurité de la nuit, dans un coin retiré sous les arbres, je lui avais avoué que nous ne devions plus recommencer que javais fait un écart dans ma vie sentimentale et que je nétais pas prête à me perdre dans ce genre de relation. Javais remarqué dans son regard quil men avait voulu, il ne le montra pas ouvertement mais je le compris lorsque je ne lavais pas vu à cette soirée.
Ce fut Johan qui mavait appris que Sylvain et Julien avait prévu de faire une sortie en ville. Dun côté, cela me réjouit, je navais pas à me forcer pour ne pas céder de tomber dans ses bras mais de lautre la déception fut grande pour moi. Cette nuit-là, Johan avait su en profiter car Julien avait mis le feu en moi et mon mari avait subi mes assauts pendant une bonne partie de la nuit, je métais littéralement déchainée sur lui. Cela faisait si longtemps que nous navions pas connu une joute amoureuse aussi intense quil en fut le premier surpris.
Lorsque je métais levée le lendemain matin, ma déception fut encore plus grande lorsque je vis sortir du bungalow de nos voisins Julien au bras dune jeune fille de 25 ans environ avec laquelle, il avait passé la nuit. Jappris rapidement par Johan que celle-ci ne repartait pas, elle sétait installée pour le reste de la semaine avec ce jeune célibataire. Lorsque Sylvain était parti avec Johan après le déjeuner, Julien avait passé toute laprès-midi avec cette jeune femme, ils nétaient rentrés quavant le diner.
Je ne pouvais pas le croire, je maperçus que jétais jalouse. Le mal était fait, même si je navais pas été jusquau bout, javais bel et bien trompé Johan et je men voulais terriblement. Néanmoins, au fond de moi-même, je regrettais les moments de plaisir que javais connu dans ses bras et je désirais revivre ses instants magiques que lon ne peut connaître que dans une liaison adultère.
Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Stéphanie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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